L'Histoire

Cette Histoire commence sur Nevilïm, un monde peuplé par différentes races tels que les Démons, les Anges, les Nains, les Orcs, les Elfes et les Humains. Bien qu’hétéroclyte dans sa population, chaque être de cette terre possédait un Don, communément appelé la Foi; celle-ci permettait d’élire de par ses prières ou sa dévotion un Élu capable de bien des choses. Dans une Utopie parfaite, cela n’aurait créé qu’un seul Divin, un seul être élu par tous mais dans ce monde divisé par des croyances ancrées depuis des générations; cela créa trois Divinités bien distinctes :
La Lumière, symbole de purification et d’absolution; désirant rebâtir.
Les Ténèbres, symbole de destruction et d'annihilation; désirant la destruction.
La Neutralité, symbole d’immuabilité et de  durabilité; désirant la pérennité actuelle.
Sous chacun de ces dogmes les Fervents étaient multiculturels et liés par leurs Foi à un l’un des 3 Dieux; tant bien que dans chaque capitale il était possible de trouver n’importe quelle race.

Au fil des années, moult guerres ont éclatées entre les clans, réduisant petit à petit les terres et les populations de chacun. Si bien qu’aux derniers jours de ce Monde il ne devait pas en rester plus de 10 000 à répéter ce schéma destructeur et inlassable.
Par chance en ces heures sombres filant doucement à la destruction de cette planète, un groupe formé d’autant d’être de la Lumière que des Ténèbres ou même encore de la Neutralité, prit conscience d’une chose. Celle-ci n’était autre que la réalisation de leur propre pouvoir, puisqu’ils étaient capable d'insuffler une puissance à un être, ils étaient capables, ensemble, d’utiliser leur énergie pour autre chose.
Et alors même que Nevilïm meurtrie par les batailles commença à mourir provoquant éruptions volcaniques et séismes d’amplitudes majeures aux quatres coins d’elle-même, les dernières troupes de chaque nation s’assénaient encore des coups meurtriers. Seul dernier espoir de l'humanité, les Fervents déloyaux à leur cause, priant pour une seconde chance eurent le mérite de l’obtenir.