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 Ribur Mâchoire de Fer

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Ribur
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MessageSujet: Ribur Mâchoire de Fer   Ribur Mâchoire de Fer Icon_minitime1Sam 11 Avr - 1:54
"Ribur, Mâchoire de Fer"
Prélude

Dans les tréfonds du royaume Nain de Nevilim se trouvait une forge, la Forge des frères Grohandar's. Les frères étaient des Seigneurs Nains, réputé pour être des chevaucheurs de bouc aux équipements impressionnants, de facture Naine, bien entendu, mais d'une qualité surpassant de loin n'importe quel autre peuple se prétendant "Forgeron". Les terres des Grohandar's bordaient les Montagnes de Mytrhrill, la Seigneurie était installé a même la montagne, ainsi que les forges qui nous interpellent. Ribur Mâchoir de Fer était un maître forgeron, il "gouvernait" les forges pour les frères. Lorsque la journée commençait il répartissait le travail entre les autres artisans forgeron de Grohandar's. Bien entendu il se gardait jalousement les pièces d'orfèvrerie qui faisait de lui "le Forgeron le plus minutieux de Grohandarsfort", à tel point que l'on qualifiait souvent ses œuvres d'être touchées par la grâce du marteau Divin...
Le forgeron
Les frères Grohandar's étaient des seigneurs de guerre, connu en tout Nevilim pour leur efficacité, souvent injustement qualifié de "Mercenaires". En tout champ de bataille où l'on entendait l'arrivé des cors de bataille des légions du Grohandar's, les combattant frémissaient à l'idée de les affronter. Leur armure était dure comme la roche et leur armes aussi tranchante que le croc d'un dragon est acérée. L'avarice de l'un des frères Grohandar's a prit le pas sur le perfectionnisme de son frère, il est donc à développer que le cadet, le perfectionniste, a tellement pousser ses forgerons dans la voie de la perfection de leur équipement qu'en est né leur renommé. Quant à l'avarice de l’aîné elle desservit principalement la trésorerie du royaume : il se mit à vendre, au marché noir, des armes de faction naine Grohandaise aux nations de la Lumière et des Ténèbres, s'enrichissant ainsi à tour de bras, voir même de brouette !

En ses temps trouble fût donner l'ordre aux forges de tourner à plein régime, le double de la production fut réclamer à chaque forgeron. Ribur n'eut d'autre choix que de forcer les tours de forge pour former des équipes de jour et des équipes de nuit pour répondre à l'affolante demande qui leur était imposé. Les forges tournaient tellement qu'une chaleur proche à celle de l'enfer lui même régnait au milieu de la "Forgerie Principale". Ribur fut charger de forger les armes personnels des dignitaires et gradés des armées requérant leur savoir faire. Notre forgeron n'avait d'autre choix que d'obéir à ses maîtres et seigneurs, il leur devait la vie, mais ceci est une autre histoire...

Nombres d'armes aux armoiries Ténébreuses ou Lumineuses sont passées dans les mains habiles et expertes de Ribur Mâchoire de Fer, nombres d'heures devant les fours pour obtenir ce résultat, ses mains sont noircies et presque aussi dur que l'acier qu'il bat tout les jours. Son nez, large et bossu rappel le nombre impressionnant de coup de poing reçu. Son front aussi large qu'imposant, est tout aussi dégarni que le sommet de son crâne, à l'instar de sa barbe, qui, quant à elle, est amplement fournie, longue et bien volumineuse, tressée de chaque coté de sa bouche en deux tresse guerrière traditionnelle naine. Plusieurs cicatrices et tatouages parcours son corps, ses bras et même ses mains, acquis aux longs de moult batailles et beuveries naines tout autant traditionnelle.Son buste puissant et musclé exprime de longue année d’entraînement et de travail acharné. Ses Larges mains noircies par la forge et le souffre sont incroyablement musclée, son avant bras est aussi large qu'une cuisse d'un "Long sur Patte" (Humain classique). Ses épaules tout autant imposante sont large et puissante, certaines naines parle même d'une robustesse à toute épreuve, qui sait donc d'où elle pourrait tenir ce genre d'argument...
L'instruction
Son histoire commence il y à fort longtemps, de nombreux cycles solaires (classifiant l'âge chez les Nains) aux abords des terres Grohandaises, un doux matin de printemps où il vit enfin le jour, fruit de l'amour tant attendu. Il est le fils unique d'un capitaine Chevaucheur de Bouc et d'une Gouvernante d'une maison noble. Il fut élevé dans les principes traditionnel Nain, il appris la forge et l'art du combat dés son plus jeune âge. Néanmoins sa mère ne tarda pas à déceler d'excellente capacité à la réflexion, son intellect dépassait celui du guerrier nain moyen. Elle prit donc la décision de l'instruire, d'utiliser la source d'instruction disponible dans la bibliothèque de ses patrons pour cultiver son fils et faire de lui un nain de classe moyenne plus cultivé que la norme, en espérant que cette culture lui ouvrirait les portes que sa caste personnel lui fermait. Ribur prit rapidement goût à tout ces enseignements, s'en abreuvant avec délectation et envie.

Plus de 50 cycles solaires sont passés depuis sa naissance et pourtant Ribur n'en reste pas moins un jeune nain, ses parents toujours acharné dans leur tâche respectives on laissé le soin à leur fils de ce choisir lui-même une voie. Perdu au milieu de toute ses capacités il ne savait vers où se tourner, penchant d'abord pour l'art de la guerre comme son père, ou plutôt pour la forge pour servir l'art paternel ou bien même une tâche plus intellectuel comme l'ingénierie, savourant toujours autant la découverte. Il se tâta à chaque tâche, de longues heures, de longs jours, sans vraiment savoir où il se sentait le plus à sa place. Il resta des semaines entière dans les bibliothèques du noble embauchant sa mère, à chercher où était sa place dans les livres qui lui était désormais tant familier, sans pour autant y trouver de réponse. Il passa son temps avec les Hommes de la Bataille, un groupuscule Nain dévoué à l'instruction de l'Art de la Guerre. Durant de nombreux mois humain il s'entraîna avec eux et acquis d'excellentes compétences combatives et un goût prononcé pour la hache a double tranchant, ainsi qu'un certain attrait pour la bière noire naine. Et pour finir, il s'acharna aussi dur que fer à l'approfondissement de l'art de la forge. De longue semaines, des mois même, à marteler les différents métaux disponible en Nevillim, les fondre, les travailler, s'enrichir du savoir les entourant, leur attribution et application. Forgeant de nombreux outils, des fers à bouc ou même encore quelques armes. Ses mains et ses bras prirent rapidement le rythme du travail ainsi que la carrure nécessaire à ce travail. Malgré tout ses essais, son cœur balançait encore entre tout ces choix possible... Il prit du recul, seul, dans les montagnes et cogita longuement sur sa situation, comment faire un choix sans décevoir personne tout en respectant ses propres goûts et ambitions ? Il fini par trouver le compromis idéal : il serait un homme du combat, un porteur de hache dévoué à sa cause (la vitesse des boucs l'impressionnait de trop et donc il se refusa à cet avenir), tout comme son père il servirait l'Art de la Guerre; il sera tout autant forgeron, pour l'armée ou lui même, mais il tenait a marteler l'acier, il le ressentait en lui-même d'une ardeur aussi brûlante que la forge elle-même; et pour finir, il garderait le nez dans les livres pour continuer son instructions personnel, mais uniquement sur les thèmes qu'il juge utile ou qui l'intéresse, tout comme sa mère avait entrepris, il s'instruira ! Voila donc le compromis de Ribur, gardant ses valeurs en avant sans décevoir les valeurs transmises par ses parents.

Ribur s'engagea donc en tant qu'homme d'arme au sein de la Seigneurie local, comme son père, il signala ses qualités de forgerons au Recruteur qui en fit part à ses supérieurs, qui eux, à leur tour, n'hésitèrent pas une seule seconde à mettre ses dire à l'épreuve. Ribur se retrouva donc devant le four et l'enclume et eut comme consigne de forger un couteau de table. Notre guerrier-forgeron se senti rabaisser à l'idée qu'on prennent ses paroles pour de l'exagération, en se targuant qu'un couteau de table était bien inférieur a ses talents et décida donc d'outrepasser la consigne et de faire plutôt une belle épée de combat moyenne naine. Ce qui n'eut pas tout a fait l'effet escompté, oui il impressionna ses supérieurs avec la qualité de son travail si rapidement effectué, malgré avoir souligné plusieurs petit défaut sur l'arme forgée, ils ont surtout marqué le fait que Ribur était une forte tête qui avait tendance à dépasser les consignes pour n'en faire qu'à sa tête.

Son instruction militaire commença donc sur une note peu glorifiante pour un nain voulant servir l'Art de la Guerre, il était considéré dors et déjà comme un effronté, une forte tête, Ribur se voyait déjà la honte de la famille... La seigneurie avait un code formateur excessivement strict : seulement au bout de 10 cycles solaires d'instruction les Guerriers auront le droit a leur première permission, ce qui influerait sur leur dévouement et leur discipline. Ses dix cycles solaire ont été excessivement long et endurant pour Ribur, il apprit non plus à donner des coups gaiement avec sa hache, mais également à en recevoir, à les parer, les contrer, et bien d'autre bottes encore. Moult cicatrices découlèrent de cet entraînement et même certain tatouage, la tradition naine impliquant la symbolique de réussite soit par l'ornement ou le tatouage. Ces dix cycles lui ont semblé être une éternité, il lui semble être un nain bien différents aujourd'hui, il a appris la hiérarchie, la discipline et l'ordre, il est bel et bien devenu un nain convenable, digne et respectable.

C'est au cours de sa première permission qu'il fit enfin face à son père pour la première fois depuis ce qui était, pour Ribur, un déshonneur. Celui-ci attendait notre guerrier en bout de la table familiale, le visage sombre et fermé derrière son énorme barbe paré d'une multitude de tresse guerrière. Ribur ne savait trop quoi dire face à son père si sérieusement attablé, il s'assit lentement à l'autre extrémité de la table, le teint pâle et surtout le cœur lourd. Son père l'accablait d'un regard sévère et réprobateur, sans rien dire ni laisser paraître, il le fixait simplement avec un air accusateur. Un long silence s'installa entre les deux nains et au moment au Ribur allait ouvrir la bouche pour se fondre en excuse devant son père celui-ci éclata de rire, à tel point qu'il en pleurait. Notre forgeron étant totalement perdu et désemparé face à son père qui semblait devenu complètement fou tenta de demander a son père pourquoi il riait. C'est ainsi que celui-ci repris plus ou moins son sérieux pour lui dire simplement :
"Alors comme ça on marche sur les traces de son père ? On fait la forte tête ?"
Les deux nains s'esclaffèrent de rire longuement, jusqu'à ce que la mère intrigué par ce brouhaha intempestif entra dans la salle à manger pour découvrir ce spectacle délirant : père et fils, le buste allongé sur la table, l'un a coté de l'autre, pleurant de rire dans leur hanap de bière noire. Elle sourit tendrement et s'en alla leur préparer un bon repas pour fêter le retour de leur fils prodige. Le festin tarda dans la nuit, à tel point qu'on retrouva le lendemain matin Ribur échoué le long du buffet de la salle à manger, ronflant le nez dans son hanap où il restait un fond de bière. Il se réveilla la tête lourde, cherchant son père ou sa mère du regard, personne n'était dans la grande salle à manger. Il se mit a fouiller le foyer familiale sans trouver qui que ce soit, juste, ce qui semblait d'après lui être des traces de la fête incroyable de la veille. En arrivant dans le couloir à l'étage il se rendit vite compte que ce qui semblait être des dégâts de la fête étaient en réalité des traces de luttes ! Il couru directement a la chambrée parentale, personne. Dans la chambre d'ami, personne. Dans la sienne, personne non plus...
Le goût du sang...
Après avoir fouillé la maison de fond en comble il sorti dans la rue et ce qu'il vit lui coupa le souffle : les maisons avoisinante étaient soit en prise par les flammes ou par des ennemis inconnus. Il fit volte face et se rua a l'intérieur de la demeure familiale, s'affubla rapidement de son équipement et ressorti aussi vite pour faire face à l'envahisseur. Mais ce qu'il ne sait pas, c'est qu'il n'était nullement lieu d'une invasion, mais plutôt d'une extermination, l'ennemi était là en réalité pour exterminer toute forme de vie du secteur.

Ribur se rua dans la rue principal, la lance imposé par l'armée à la main, sa hache à double tranchant au ceinturon son pavois moyen dans le dos qui lui est recouvert d'une armure d'écaille et d'une cotte de maille de Mythrill, le casque ailé bien vissé sur la tête. A peine quelque pas le séparait de son foyer lorsque le tocsin de guerre de la Seigneurie retentit, encore et encore toujours plus fort jusqu'à ce qu'il s'arrête définitivement... Le sonneur était-il mort ou en proie à la lutte avec l'adversaire ? Cela importait peu à Ribur, il cherchait les siens du regard parmi les décombre de la ville et dans les foules fuyant pour leur survie. Il continuait son avancée vers le cœur de la ville, neutralisant ça et là quelques ennemis tentant de lui barrer la route, en arrivant sur la place principal il reconnut un bruit salvateur et famillier : la cohue des chevaucheurs de bouc ! Si il les entendait, son père était sûrement toujours en vie. Ragaillardi par cette nouvelle hypothétique et utopique il réarma sa hache et son bouclier, se mit en position pour un assaut plus que brutal avec l'ennemi qui arrivait droit sur lui, convaincu que les chevaucheur nain arrivant en son dos porterait la balance à leur avantage indéniablement et ainsi ils repousseraient l'ennemi hors de la ville; son plan semblait sans accro.

Les premiers ennemis arrivèrent au compte goutte, ce qui simplifia grandement le travail de Ribur qui les acheva assez rapidement que pour se préparer aux ennemis qui suivraient, prêt à trancher la chair à vif, voir même tailler en deux pièces distinct. Les ennemis arrivaient toujours plus nombreux et toujours aucun signe des chevaucheurs, Ribur commençait même à douter en ses capacités à retenir autant d'assaillant, il était même en train de reculer, sans en avoir le choix il cédait du terrain à l'ennemi. A cet instant même, le bruit de la chevauchée semblait tellement proche qu'une fraction seconde aurait séparé le son de la vision, Ribur leva les yeux, d'un geste machinal, et vit au dessus de lui le ventre velu d'un bouc bondissant au dessus du combat.
"Me voila sauvé ! Mes frères d'armes sont arrivé avec mon père !" Se dit-il expressément, pensant l'arrivée de la cavalerie salvatrice. Il se jeta à corps perdu dans la bataille, sachant qu'un dernier effort le séparait de son but. Mais lorsque le bouc toucha le sol, Ribur fût captivé et à la fois terrorisé par ce qu'il voyait, un spectacle incroyable, impossible et même jamais vu se dessinait sous ses yeux. Le bouc courrait seul, sans nain sur le dos pour le guider, à la place du dit nain ne restait qu'un marre de sang dégoulinant sur le pauvre animal, de ça et là on distinguait encore quelques reste de chair et de tripe du cavalier qui devait être assis là quelques instant plus tôt. Le bouc quant à lui avait perdu une de ses cornes et était également couvert d'une multitude de blessure plus profonde et suintante les unes que les autres. Soudain d'autres boucs firent leur apparition, certain était encore plus mal en point que le premier, d'autre portait les stigmates d'un affrontement d'une violence sans pareil, l'un d'entre eux avait même une patte en moins, un autre portait les restes sanguinolent du nain qui le chevauchait,...
Ribur était sous le choc, jamais il n'avait vu ça auparavant, qui ou plutôt quel armée aurait été capable de faire autant de dégâts à une place forte naine ? Il en resta bouche bée, immobile, une erreur fatal sur un champ de bataille, une seconde après il ne reste que le noir, le silence, l'humidité et un mal de crâne incommensurable...

Ribur reprit connaissance plusieurs jours plus tard, la première chose qu'il vit fut un immense chandelier en fer forgé, pendant au plafond d'une voûte rocheuse magnifiquement et finement sculptée. L'ornement de cette voûte faisait référence à une bataille épique entre deux peuples nains, il n'en avait jamais entendu parlé. Il tourna la tête de gauche à droite pour repérer un peu mieux les lieux : il était allongé sur un lit d'infirmerie au milieu d'une grande salle de pierre, les murs comme les colonnes étaient ornés de gravures naines finement recouverte d'or. L'immensité et la grandeur de la salle l'impressionnait et lui inspirait un profond respect. Que ce soit le travail de l'acier ou le travail de la pierre, nulle doute qu'un Maître Artisan y a passé de longues heures. Il se redressa doucement pour imprégner encore plus l'immensité des lieux, à ce moment là une naine bien en chaire fit son apparition de derrière une colonne. Elle était vêtue tel une infirmière, reflétant un blanc immaculé. Comme toute naine elle portait un léger duvet, fin et délicat sur le bas du visage, elle avait les épaules solide et la poitrine robuste. Ses yeux vert dégageait une intelligence et une malice assez inhabituelle chez une naine de son état. Ses long cheveux roux était tressé en trois natte réunie à l'arrière de sa tête en un chignon enroulé. Elle était belle, semblait douce et dévoue tout en dégageant de la bonté et de l'intelligence, Ribur se sentit épris pour la jeune naine. Elle vint donc à sa rencontre avec ces mots légers : "Vous êtes enfin réveillé ? Vous avez dormi presque deux semaines"
En entendant cela notre nain voulu sortir du lit pour retourner à sa ville et sauver les survivants, la soignante l’arrêtât immédiatement :
"Où allez vous ainsi ?! Vous avez besoin de repos !" Et elle le repoussa d'une main forte et assurée dans le fond de son lit.
"Je dois retourner me battre, je dois sauver ma ville, mes amis, ma famille et mes compagnons d'arme" Protesta Ribur, mais la naine n'en avait qu'ure :
"Si vous venez de Hugpifsbourg il n'y a plus rien à faire et ce depuis plus d'une semaine. La ville a été réduite en cendre, il n y a aucun survivant, à part vous apparemment. Vous allez donc vous A-LON-GER et vous RE-PO-SER" insista-t'elle. Ribur compris à ce moment là qu'il pouvait tirer un trait sur toute sa vie, sa famille, son travail, ses amis, son bar préféré, son monde venait de partir en fumée... Il lui fallut dés lors plusieurs jours pour dire quoi que ce soit, il s'était enfermé dans un silence endeuillé, ses nouveaux premiers mots étaient réservé à la jolie infirmière lorsqu'elle vint lui faire ses soins : "Il fait vraiment beau aujourd'hui, dois-je encore rester enfermer ici longtemps ? Ne puis-je prendre l'air ou voir où suis-je ?" Lui dit-il.
"On a enfin fini de bouder et retrouver sa langue ? On est enfin décidé à s'ouvrir un peu ? Cela fera bientôt deux mois que je m'occupe de vous et je ne sais même pas votre nom ! Et vous espéreriez que je vous laisse filer comme ça ? Simplement parce qu'il fait beau ?! Il en est hors de question !" S'enflamma-t'elle.
"Mon nom est Ribur, fils de Gléobur Mâchoire de Fer, forgeron et guerrier émérite de mon état et vous qui avez eu la bonté de me soigner, comment vous appelez-vous ?" Répondit-il directement.
"Je suis Manicléa, fille de Sabor Long Pied, promise de Filibur Grohandar's, future-maîtresse de ces lieux et Guérisseuse du royaume. Maintenant que je sais qui vous êtes et que je peux vous retrouver plus aisément, vous êtes libre de sortir comme bon vous semble." Lui sourit-elle. Le mot "promise" résonna longtemps aux oreilles de Ribur, qui était quelque peu frustré d'apprendre que la naine qui lui avait fait perdre la raison était déjà promise à un autre qu'à lui. Il s'enquit de savoir comment il était arrivé là, elle lui expliqua donc qu'il avait été retrouvé le long du rivage des terres Grohandaises par une patrouille qui l'aurait immédiatement ramener auprès du Seigneur Grohandar's l'Ainé qui aurait décidé de le soigner pour l'interroger plus tard sur les faits qui ont mener à la chute de l'avant-poste fortifier de Hugpifsbourg. Il aurait bientôt un entretien avec le Seigneur de ses lieux sans avoir de réponses concrètes ou satisfaisantes à fournir. Comment pouvoir se justifier ou bien même parler d'un ennemi dont on ne connaît ni la provenance ni la motivation ? Il allait bien falloir trouver quelque chose à dire. Ribur décida de visiter les abords proche de la forteresse où il se trouvait, toute celle-ci exprimait énormément de richesse, de pouvoir et de culture, jamais on aurait vu un tel ouvrage à Hugpifsbourg. Il sorti et se retrouva sur la grand place, au loin résonnait les bruits permanent du marché, un nombre incalculable de dédale de rue s'offrait tout autour de lui, il y avait des nains partout, au moins 100 fois plus nombreux que son avant-poste. Il déambula et traîna tout le jour durant avant de rentrer à la forteresse pour se nourrir et se reposer. Il croisa Manicléa dans un couloir qui lui sourit aimablement, son cœur bondit immédiatement et il rendit le sourire, plus bêtement qu'aimablement. Après un copieux repas et un énorme hanap de bière noire il retourna se coucher, attendant fermement le lendemain pour justifier au Seigneur Grohandar's qu'il ne savait rien.

Vint le lendemain et l'annonce de son entrevue ne traîna pas à se faire entendre : un nain vêtu ridiculement de bleu avec des longues collerettes ornaient son tour du cou et des mains vint le convoqué auprès du Seigneur. Ribur suivi le nain bleu jusqu'à la salle du trône où siégeait les Frères Grohandar's, une salle bien plus imposante que toutes celles vues auparavant, les ornements et dorure étaient encore plus grand et plus beaux qu'ailleurs, jamais au grand jamais Ribur n'avait vu tel œuvre dans sa vie. L’aîné prit la parole en premier :
"Ribur le sauvé des eaux, tu as bien de la chance de ne pas t'être noyer ! Que s'est-il passé a l'avant poste fortifié de Hugpifsbourg pour avoir un résultat aussi chaotique ? Vous êtes le seul survivant, qu'avez-vous à nous dire sur ce qui s'est passé en ces lieux ?" Argua t'il fortement.
"Malheusement mon Seigneur je n'ai absolu rien à vous dire, je ne suis au courant de rien à part que nous avons prit une débâcle comme jamais auparavant, je ne sais quel ennemi est assez puissant pour éradiquer un avant poste nain en un seul assaut, j'ai tenté de lutter tant que je le pouvais mais en vain, j'étais déjà seul à mon réveil"
"Comment est-ce possible ?!" Hurla le cadet.
"Lorsque j'ai prit part à la bataille, il était déjà trop tard, j'étais déjà le dernier nain debout, alors que j'étais en tête de ligne sur le pont principal. L'ennemi a fondu sur la ville aussi vite que le jour fond sur les plaines !"
"L'ombre de la Guerre... Un fléau nain dont personne n'y échappera. Mais te voici en sécurité en Grohandar's, la forteresse la plus fortifié de tout Nevilim, tu es désormais l'un des membres de notre peuple, tu es ici chez toi pour les cycles à venir si ton allégeance est notre" Enchérit l’aîné.
"Ma hache et ma barbe sont votre, mon poing et ma vie pour Grohandar's !" Vociféra Ribur en s'agenouillant.

Les cycles ont passés et Ribur a bien évolué au sein de la Seigneurie, de simple soldat il est devenu Capitaine de ligne et désormais il est Commandant d'Assaut, son rôle consiste à mener TOUTES les troupes d'assaut du Grohandar's à la réussite de leur objectif. En outre, de simple forgeron de fin de ligne de production il est aujourd'hui Maître Forgeron et dirige la "Forgerie Principale" du Grohandar's. De nombreuses batailles pour l'armée Grohandaise ont forgé Ribur à un art du combat frôlant l'excellence et ont également aiguisé son sens tactique à la limite de son paroxysme. Réputé pour l'acharnement dont il fait preuve, que ce soit au combat ou à la forge, Ribur excellait au combat à la hache à double tranchant tout particulièrement mais maniait tout type d'arme avec aisance et singularité. Il a choisi de se balader dans une armure lourde traditionnel au casque ailé et à la cotte de maille tressée, renforçant grandement ses capacités défensives aux détriment de sa mobilité, mais pourquoi être mobile lorsque l'on est un fléau vivant du champ de bataille ?

Les cycles ont encore passés et Ribur n'a plus à prouver sa réputation ou sa renommée, tout le monde sur son passage sait qui il est et ce qu'il a accompli, certains peuvent même énuméré par cœur ses hauts-faits. Nul doute la dessus, Ribur est convaincu d'avoir réussi son existence, même si il est actuellement débordé de travail à la forge, ses Seigneurs et Maître lui réclament toujours plus d'armement que la veille. A se demander pourquoi autant d'armement alors que toutes nos armées sont équipées des meilleurs pièces qui sont forgées ici-même. Si il en a été demandé ainsi, il en sera fait ainsi; voila comment Ribur voit les choses et comment il fait tourner les forges en ce sens. On doit sûrement imaginer le nombre de forgeron qui doivent détester secrètement Ribur ou l'envier.

La guerre entre la Lumière et les Ténèbres fait rage, les forges tournent à plein régime et Ribur est convoqué, lui et son détachement, de plus en plus souvent, à des endroit de plus en plus éparse sur la carte de Nevillim. La notoriété du nain ne cessant de croître, il s'est fait tout un tas "d’allié" et de relation utile en ces temps difficile. Après une série de raid qui dura quinze long cycles, Ribur enquérait sa promotion au titre de Général des Armées, un titre suprême au sein du pouvoir mis en place, il avait atteint le sommet de la chaîne social. Lors de la passation de pouvoir entre lui et l'ancien Général, qu'il découvrit en même temps, ils se lièrent d'amitié et gardèrent contact par la suite. Lors de l'une de leur soirée arrosée, Ribur appris par la bouche de l'ancien Général une étrange histoire : Les Grohandar's ont levé de nombreux raids avec des factions secrète sur des bases Naines pour prendre le contrôle de tout les peuples Nain sour leur bannière, les forçant par la peur ou par le néant à fuir leur ville vers des zones plus fortifié, les repoussant toujours plus vers le Grohandar's. L'ancien Général lui raconta l'histoire d'un raid secret qu'il avait mené lui même, sur un petit avant-poste fortifié, il y a de ça de bien long cycle, à tel point qu'il ne se souvient plus du nom de l'avant poste. Il se vanta de l'aisance avec laquelle l'avant-poste fût éradiquer, qu'en un claquement de doigts il ne restait plus qu'un seul nain debout qui fini rapidement seul dans la rivière. Ribur fit vite le lien entre les deux et compris vite l'hérésie et la trahison de ses maîtres, il compris que tout sa vie était basée sur un mensonge, que toute sa vie il avait servi les assassin de ses parents.
Mais dans ce monde déchiré par la guerre, aux portes de l'anéantissement, est-ce qu'il y à la place et le temps pour la vengeance ? Voila déjà de nombreux mois que Ribur prie pour un salut quotidiennement avec ses collègues Forgerons et ses Frères d'Armes. Trouveront-ils leur salut ? Trouvera-t'il une forme de vengeance ? Assoifera-t'il son goût du sang ?
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MessageSujet: Re: Ribur Mâchoire de Fer   Ribur Mâchoire de Fer Icon_minitime1Sam 25 Avr - 19:01
Bienvenu sur Stygma, Ribur !

Suite à la lecture de ta présentation nous t'accordons ce bonus :

50xp, 60 matériaux, une armure de base au choix et un porte bonheur 1pt*.

Bon jeu et bon amusement parmi nous !

*le porte bonheur te servira a gagner un point de capital à placer dans tes stats.
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MessageSujet: Re: Ribur Mâchoire de Fer   Ribur Mâchoire de Fer Icon_minitime1Sam 25 Avr - 19:10
Merci à l'équipe ! Un plaisir d'être parmi vous !!
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MessageSujet: Re: Ribur Mâchoire de Fer   Ribur Mâchoire de Fer Icon_minitime1Sam 25 Avr - 19:13
Plaisir partagé ^^
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MessageSujet: Re: Ribur Mâchoire de Fer   Ribur Mâchoire de Fer Icon_minitime1
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Ribur Mâchoire de Fer

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